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© Hadrien Hubert, Clara Pierré, Septia Rahma Khairunnisa
Par manque d’espace et d’aménagements, automobilistes, cyclistes et piétons cohabitent avec difficulté. Mieux partager l’artère passe par une redistribution des rôles au bénéfice des modes doux de transport.
À l’heure des grands chantiers, les trois communes réinvestissent leur passé industriel pour attirer de nouveaux habitants. Avec un cadre de vie qui doit conjuguer patrimoine et végétalisation.
Commerçants et restaurateurs défendent leur place le long d’un axe en mutation. Les projets pour mettre en valeur ce territoire et exploiter son passé brassicole émergent difficilement.
Commerçants et restaurateurs défendent leur place le long d’un axe en mutation. Les projets pour mettre en valeur ce territoire et exploiter son passé brassicole émergent difficilement.
À côté du Goliath Heineken, la brasserie artisanale Storig lancée il y a une quinzaine d'années, fait office de David. Le géant industriel et la petite brasserie indépendante coexistent sur le territoire de la même commune. L’une favorise la quantité, l’autre, la qualité. “Le groupe Heineken ne fait pas de concurrence. On ne joue simplement pas sur le même terrain et c’est tant mieux”, déclare le responsable de production de la brasserie Storig, Laurent Caillard.
Avec une production de 1000 hectolitres par an et seulement trois employés, la microbrasserie mise sur la qualité du service et de son produit. À travers ses cinq bières permanentes, ses bières de saison et ses bières à façon créées pour des événements spéciaux, elle se donne pour ambition de “remettre la bière où elle doit être”. “Nos bières sont non pasteurisées et non filtrées. On veut les déguster comme on déguste du bon vin”, explique Laurent Caillard.
Rafaël Andraud et Grégoire Cherubini
* : Le prénom a été modifié