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Réalisation, montage et création sonore : Céline Scherr
Mixage : Jean Christophe Galen
Production : CUEJ Centre Universitaire d’Enseignement du Journalisme
Musiques originales : 33 Tours, Pierre Truong Tan Trung et Nuit Apache, Bérurier Noir
Acousmatique et harmonica : Pierre Biebuyck

Merci au protagoniste qui souhaite rester anonyme, à Pierre Biebuyck pour son oreille extérieur et les ambiances acousmatiques, à Christophe Deleu pour son accompagnement, au label Archives de la Zone Mondiale pour la cession des droits, à Pierre Truong Tan Trung pour la cession des droits et tous les musiciens qui l’accompagnent (Soupe et Chanson 2020), à Jean Christophe Galen pour le mixage, au CUEJ, pour le prêt du matériel

Par : Céline Scherr

Il est châtelain, sa particule de noblesse est No pour No Futur.
Sa maison de plaisance : une pièce troglodyte.
Pour s’y rendre, une descente en rappel à 5 mètres du vide.
Il a aménagé il y a quatre ans sur cette paroi rocheuse dans un château abandonné, son lieu de vie en partie. L’hiver elle y est trop humide. Sa maison tient dans un sac à dos, il bouge selon les saisons. Son palais ne se limite pas à une forteresse mais à l’immensité de la Nature.

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Les Français sont joueurs. En 2019, ils ont dépensé 50 milliards d’euros en jeux de grattage, loteries, paris sportifs et mises dans les casinos. Un marché florissant, qui fait beaucoup d’heureux, mais qui a aussi sa part d’ombre.

Enquête dans l’univers ultra réglementé des jeux d’argent en France.

 

Dépendance aux importations, retard sur le numérique, manque de solidarité : la pandémie du coronavirus a mis en lumière les fragilités de l’Union européenne. Malgré des aides et des investissements d’une ampleur inédite, la relance s’annonce délicate. Nous avons mené l’enquête auprès d’Européens inquiets pour leur avenir.

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Le projet a tout de même quelques supporters, notamment Fabien Gilberg, propriétaire de la pharmacie Premium Santé : “Il y a quelques années une voiture venant de l’avenue de Périgueux s’était encastrée dans la pharmacie ! Le carrefour est très dangereux, que ce soit pour les piétons ou les automobilistes.”

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Ce type d’acquisition peut prendre du temps et se heurte parfois à la résistance des commerçants. C’est le cas d’Antonio Campolo, propriétaire du traiteur italien Casa Campolo. "C'est une histoire de longue date, la mairie négociait déjà avec mon père il y a vingt-cinq ans”, raconte Antonio Campolo. Installé en 1983, le père d’Antonio a été contacté plusieurs fois par la mairie pour lui proposer de racheter sa maison. Aujourd’hui le traiteur se dit prêt à vendre son bien mais il estime l’offre financière de la mairie insuffisante. “Je ne suis pas contre le fait de céder mon commerce, mais il s'agit aussi de ma maison et avec l’offre de la mairie, je ne pourrai pas me réimplanter ailleurs ni me loger à Bischheim”, affirme le commerçant. Ce statu quo peut durer tant que la municipalité ne décide pas d’exproprier Antonio Campolo au nom de l’intérêt général. 

Conseiller municipal d’opposition et tête de la liste écologiste Naturellement Bischheim aux dernières élections municipales, Gérard Schann est loin d’être convaincu par le projet. Pour lui, la piste cyclable est purement cosmétique : “Ce ne sont pas les 50 m de piste cyclable qui vont inciter les Bischheimois à utiliser leur vélo", fulmine l’écologiste.

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