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© Zoé Dert-Chopin et Carla Génévrier 

Baptiste Filippi occupe la moitié de cet atelier. © Eva Pontecaille

Au croisement du boulevard du Président Wilson, les voitures d'aujourd'hui remplacent les hippomobiles des années 1920. © Patrick Hamm / Keziah Cretin

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Fabien Simon dans l’une des allées du Bunker comestible. 
© Eva Pontecaille

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Cantine, vente de plantes, friperie… Le Wagon Souk offre un panel de services à prix solidaires. © Anis Boukerna

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Carijou recycle les dons de jouets. © Anis Boukerna

Le prévôt de son côté s’en défend : Ça paraît très sectaire, on le comprend, c’est un circuit fermé. On nous voit avec des habits rituels, c’est visuel. Mais à la différence d’une secte, on n’oblige personne à rester.

“On travaille sur le projet”, confirme Marie-Dominique Dreyssé, conseillère municipale chargée du quartier Gare. Elle préfère envisager les remparts plus globalement, comme “un lieu bon vivant” et respectueux des espaces verts. L’édifice fait partie de la ceinture verte, un cordon de végétation entourant le centre-ville. Un projet auquel la majorité écologiste, au pouvoir depuis 2020 semble donner la priorité, au détriment du patrimoine historique.

Fort de ce succès, le CESFS veut proposer des visites guidées mensuelles. Au dernier étage du Centre de passage, devant une porte condamnée qui menait auparavant sur le haut des remparts, Antoine Schoen imagine des balades de plusieurs heures et un parcours libre. Pour mener à bien ce projet, il aimerait créer une association pour convaincre la mairie que l’histoire peut être un levier pour dynamiser les fortifications. L’actuelle propriétaire d’une partie des lieux, classés Monument historique depuis 2009, a laissé le Bastion XV à la gendarmerie, qui l’utilise comme caserne lors de grands événements.

Préserver la ceinture verte

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