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Organisée par les acteurs de la vie locale, parmi lesquels la Ville, l'OPI (Orientation prévention insertion), la halte-garderie ou encore l'association Au-delà des Ponts, la fête de l'automne se déroule, comme pour chaque saison, autour du jardin partagé. Ce dernier, d'ordinaire calme, s'est retrouvé au cœur des festivités automnales. Autour de lui, six ateliers : henné, marrons chauds, fruits secs, land art, taille de citrouilles d'Halloween et découverte des senteurs et de la flore du jardinet. De quoi occuper les enfants du quartier et de les sortir de la routine.

Mercredi 9 octobre, le Port du Rhin célébrait sa troisième édition de la fête de l'automne. Durant un après-midi, le quartier a vécu au rythme des tam-tams, entre ateliers artistiques et découvertes autour du jardin partagé. Cependant, l'événement n'a réuni que des enfants, profitant de leur mercredi de liberté.

«Boum boum tchek !». C'est le bruit un peu brouillon qui résonne dans les rues de la cité Loucheur. Curieux, quelques habitants sortent sur leurs balcons. Plus bas, une troupe d'une poignée de percussionnistes en herbe sonne le ralliement, un signal qui a pour but de faire sortir les gens de chez eux et de les inviter à se joindre aux enfants pour la fête de l'automne.

 

429 studios meublés

400 € de loyer toutes charges comprises

surface de 18 m2

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

110 studios meublés

de 360 à 450 € toutes charges comprises

surface de 18 à 27 m2

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

280 studios meublés

de 360 à 450 € pour un studio toutes charges comprises 

680 € le T2 et 1000 € le T3 toutes charges comprises

surface de 18 à 56 m2

 

LEGENDE

Intervention de l'association D-Clic dans des classes de troisième du collège François Truffaut

Tambours, tambourins, caisses claires et autres agogôs à deux cloches ont sorti le quartier du Port du Rhin du calme de ses mercredis après-midis.

 

« Dans l'idéal, on voudrait aussi développer des partenariats avec les associations du quartier de Koenigshoffen, assure Bernard Müller. On a aussi prévu de développer des projets scolaires, avec des ateliers à l'année dans le cadre d'un cours par exemple. »

Dès le mois de décembre, le musée devrait proposer des visites personnalisées, musicales, contées ou encore un ciné-club.

Romain Geoffroy

 

Informations pratiques :

Ouverture au public sur réservation dès le 29 novembre 2013
Musée Vodou
4 rue de Koenigshoffen
67000 Strasbourg
http://www.chatodo.eu
visite@le-chateau-d-eau.com

 

Le 26 novembre prochain, le C(h)oeur des femmes recevra officiellement son prix à Paris, au théâtre des Trois Baudets. Une fierté pour ces femmes du Neuhof.

Maxime Mainguet

 

Plafonds hauts et vitraux apporteront une lumière vive aux collections du premier étage, tandis qu'au deuxième, les anciennes cuves d'eau laissées apparentes et l'étroitesse des fenêtres rendront sûrement l'atmosphère plus mystérieuse.
Pour l'instant, les ouvriers occupent encore le château d'eau. Les travaux ont débuté en février 2013 et l'ouverture est prévue le 29 novembre prochain. D'ici là, le musée ne respectera pas les normes en vigueur et ne pourra ouvrir normalement au public. Chaque visiteur devra d'abord s'inscrire sur internet et adhérer à l'association du musée avant d'acheter son billet d'entrée. 
Au total, il faudra dépenser environ 10 euros, adhésion comprise, pour une première visite. La direction espère régler ce problème d'ici mars 2014, et ainsi ouvrir ses portes à un large public, avec des vrais horaires de musée.

 

Résidence les Cattleyas, CROUS.

 

À l'Est de Neudorf, 2 rue du Vieil Armand, la résidence les Cattleyas se reconnaît à sa façade vieillotte. Des jeunes sur le parvis fument leur cigarette. A l'intérieur, des parties communes et des studios propres un peu usés par le temps.

 

C'est au cinquième étage de cet immeuble du CROUS que vit Hugo. À 19 ans, cet étudiant en première année de sociologie, boursier, occupe un studio de 19 m2 qu'il loue 400 euros. Avec les APL, il en est de 200 euros de sa poche. Même s'il se sent à l'aise ici, il a quelques problèmes. Notamment avec la connexion internet qui est capricieuse ou le chauffage qui refuse de s'éteindre. Il aimerait, au cours de ses études, vivre dans son propre appartement où il serait libre de faire ce qu'il veut. Peut-être en colocation.

 

Par Violetta Kuhn/CUEJ

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