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Une dynamique, quelques accrocs

Les bénévoles se heurtent à des obstacles dans la réalisation de leurs projets. Ils doivent composer avec les obligations inhérentes au statut associatif et aux embûches des débuts.

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Le restaurant À l'Abattoir rappelle le passé du lieu. © Quentin Griebel

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Ce samedi 9 novembre, une séance de pénalties animée oppose les U9 de Koenigshoffen à ceux de l'Olympique Strasbourg. © Valentin Bechu

“C’est un quartier qui se rajeunit avec des familles qui s’installent, des trentenaires, quadragénaires qui ont un ou deux enfants. Moi, je ne trouvais pas mon compte dans les choses qui étaient proposées dans le Vieux-Cronenbourg, constate Maxime Pénard, père de famille et primo-accédant. Le fait d’être propriétaire a nourri mon envie de m’intégrer davantage et d’essayer d’être acteur dans mon quartier.” L’aCROciation lui a offert un cadre. “Notre but, c’est de promouvoir l'échange et l'entraide, l'économie circulaire, solidaire et sociale, expose Benoît Pichon, président de l’association créée fin juin 2019. Permettre aux gens d’interagir entre eux, de se serrer les coudes, de mieux vivre. Le loisir, c'est en quelque sorte le ciment, ce qui va permettre aux gens de participer, de s’impliquer et de créer des choses dans le cadre de l'association.”

L’immeuble du 14 rue des Ormes appartenait au “Drotschkentkutscher” (conducteur de fiacres), Huck. Les voitures ont remplacé les chevaux au pied des habitations. © Le fonds Georges Lorentz © Lucas Jacque

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Les espaces communs de la tour 12 sont laissés à l'abandon.

© Madeleine Le Page

Au 6 route d’Oberhausbergen se tenait le Café de la Maison Rouge, précédemment Wirtschaft zum Roten Haus. Aujourd’hui, on trouve à cette adresse le restaurant de cuisine orientale Le Najiba. © Le fonds Georges Lorentz © Lucas Jacque

Emmaüs dans l'expectactive 

Sur les onze commerces qui exerçaient dans la rue Albert-Einstein, seulement trois ont réouvert dans de nouveaux locaux rue Paul-Langevin. Six ont cessé leur activité dans le quartier. Viaduq67 et Emmaüs sont toujours installés rue Albert-Einstein. Pour Philippe Wiart, gérant du magasin Emmaüs, "la situation est floue, on n'a aucune nouvelle de la mairie. D'un point de vue commercial, on aurait préféré rejoindre le nouveau bâtiment comme les autres". Autour de lui, les immeubles sont vides. "J'ai entendu dire que des associations devraient venir remplir les locaux laissés par les anciens commerces. Mais rien n'est sûr", soupire-t-il. 

La pharmacie Marie Curie déménagera, quant à elle, dans la rue Paul-Langevin en décembre 2019. Situé place de Haldenbourg, son bâtiment est voué à la démolition pour laisser place à une supérette. Les travaux d'aménagement ainsi que les fermetures de commerces ont fait perdre beaucoup de clients à Nadira Nielsen, gérante de la pharmacie. Elle se réjouit cependant de disposer bientôt de nouveaux locaux : "Quand les travaux seront finis, je pense que ça sera top."  

Quentin Griebel et Valentin Naturel 

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Test légende

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Ljuba Preslavski, directrice de l'école de musique de Cronenbourg. 

© Léa Giraudeau

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