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Chaque jour de semaine pendant la période de confinement, une soixantaine de voyageurs descendent du train Lauterbourg-Strasbourg arrivant à la station “Hoenheim-Tram” à 7h59. © Emma Steven

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En 2018, 75 157 voyageurs ont fréquenté la halte ferroviaire “Hoenheim-Tram”, selon la SNCF. Un chiffre en augmentation de 6% par rapport à 2016. © Emma Steven

Pendant la Première Guerre mondiale (1914-1918), les tramways sont placés sous le contrôle de l’autorité militaire. L’entretien du matériel est fortement dégradé par le manque de main-d'œuvre et la pénurie de matière première. Quatorze motrices sont réquisitionnées par l’armée allemande pour transporter des blessés. À partir de 1915, 260 femmes sont employées par la CTS pour pallier le manque de personnel masculin.
Photo prise entre 1914 et 1918 à l'actuel croisement entre la route de Bischwiller et de l’avenue de Périgueux (Bischheim).
© Strasbourg-Tramway © Loïc Gorgibus

 

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Les parkings relais permettent de garer sa voiture et d’obtenir un ticket aller-retour en transports en commun pour 4,20 euros la journée pour tous les passagers d’un même véhicule. © Elia Ducoulombier 

De 1877 à 1910, la Straßburger Pferde-Eisenbahn-Gesellschaft (ancien nom de la CTS) est chargée par la Ville de Strasbourg de créer sept lignes de tramway. En 1878, la ligne joignant la place d’Austerlitz à la place du Faubourg-de-Pierre est prolongée jusqu’à Hoenheim par la route de Bischwiller. Elle fonctionne d’abord grâce à la vapeur, mais la compagnie électrifie son réseau à partir de 1894.
Photo prise entre 1908 et 1914, à l’actuel 120, route de Bischwiller, devant la mairie de Schiltigheim. 
© Strasbourg-Tramway © Laura Remoué

 

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Mise en service en septembre 2000, la plateforme multimodale a été complétée en 2002 par une halte ferroviaire. © Emma Steven

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Hoenheim Gare, pôle multimodal. © Elia Ducoulombier 

Pas de royaume à défendre, ni de princesse à délivrer. Pourtant ces sportifs s’habillent comme des chevaliers et se battent à l’épée.
En France, 359 adeptes pratiquent le béhourd, qui allie reconstitution historique et sport de combat.

Un « no comment » de Melissa Antras filmé au 5D.

L’Assemblée nationale se donne deux mois pour interdire ou non les nitrites. Cet additif qui donne cette si jolie couleur rose aux saucisses et aux jambons serait cancérigène. Alors pourquoi sont-ils si souvent utilisés, et sont-ils vraiment dangereux ?

Reportage en Alsace de Mélissa Antras et Stacy Petit.

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