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Si les habitants de la Cité de l’Ill jouissaient d’un accès aux soins égal à celui des autres habitants de la Robertsau, seraient-ils en meilleure santé, auraient-ils la même espérance de vie ?

Ce n’est pas aussi simple. Beaucoup de gens ne trouvent pas la porte d’entrée. Aujourd’hui, pour avoir accès à un médecin spécialisé par exemple, il faut passer par Doctolib. Il faut avoir un smartphone, un abonnement, et savoir naviguer sur internet. C’est le problème de la fracture numérique: certaines personnes renoncent à se soigner parce qu'elles ne maîtrisent pas ces outils.

 

 

La destruction annoncée du bois de Bussière au nord de la Robertsau sera-t-elle le désastre pour la biodiversité qu'annoncent ses défenseurs? Des spécialistes de la nature strasbourgeoise établissent un constat plus nuancé.

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Autrefois destinés aux ouvriers et aux rescapés de guerre, les chalets intéressent les agents immobiliers. ©Tifenn Leriche

Si les habitants de la Cité de l’Ill jouissaient d’un accès aux soins égal à celui des autres habitants de la Robertsau, seraient-ils en meilleure santé, auraient-ils la même espérance de vie ?

Ce n’est pas aussi simple. Beaucoup de gens ne trouvent pas la porte d’entrée. Aujourd’hui, pour avoir accès à un médecin spécialisé par exemple, il faut passer par Doctolib. Il faut avoir un smartphone, un abonnement, et savoir naviguer sur internet. C’est le problème de la fracture numérique: certaines personnes renoncent à se soigner parce qu'elles ne maîtrisent pas ces outils.

Il y a aussi le problème de la motivation. Certaines personnes se disent: “C’est trop compliqué, je laisse tomber, j’ai d’autres choses à faire”. C’est vrai pour la santé en général, pas seulement pour les soins. Certains cessent d’espérer pouvoir vivre en bonne santé. Ils n’imaginent pas la vie sans alcool ou sans tabac; ou ne considèrent pas la possibilité de pouvoir se maintenir en forme par le sport, par exemple.

 

Si les habitants de la Cité de l’Ill jouissaient d’un accès aux soins égal à celui des autres habitants de la Robertsau, seraient-ils en meilleure santé, auraient-ils la même espérance de vie ?

Ce n’est pas aussi simple. Beaucoup de gens ne trouvent pas la porte d’entrée. Aujourd’hui, pour avoir accès à un médecin spécialisé par exemple, il faut passer par Doctolib. Il faut avoir un smartphone, un abonnement, et savoir naviguer sur internet. C’est le problème de la fracture numérique: certaines personnes renoncent à se soigner parce qu'elles ne maîtrisent pas ces outils.

Il y a aussi le problème de la motivation. Certaines personnes se disent: “C’est trop compliqué, je laisse tomber, j’ai d’autres choses à faire”. C’est vrai pour la santé en général, pas seulement pour les soins. Certains cessent d’espérer pouvoir vivre en bonne santé. Ils n’imaginent pas la vie sans alcool ou sans tabac; ou ne considèrent pas la possibilité de pouvoir se maintenir en forme par le sport, par exemple.

 

Si les habitants de la Cité de l’Ill jouissaient d’un accès aux soins égal à celui des autres habitants de la Robertsau, seraient-ils en meilleure santé, auraient-ils la même espérance de vie ?

Ce n’est pas aussi simple. Beaucoup de gens ne trouvent pas la porte d’entrée. Aujourd’hui, pour avoir accès à un médecin spécialisé par exemple, il faut passer par Doctolib. Il faut avoir un smartphone, un abonnement, et savoir naviguer sur internet. C’est le problème de la fracture numérique: certaines personnes renoncent à se soigner parce qu'elles ne maîtrisent pas ces outils.

Il y a aussi le problème de la motivation. Certaines personnes se disent: “C’est trop compliqué, je laisse tomber, j’ai d’autres choses à faire”. C’est vrai pour la santé en général, pas seulement pour les soins. Certains cessent d’espérer pouvoir vivre en bonne santé. Ils n’imaginent pas la vie sans alcool ou sans tabac; ou ne considèrent pas la possibilité de pouvoir se maintenir en forme par le sport, par exemple.

 

Si les habitants de la Cité de l’Ill jouissaient d’un accès aux soins égal à celui des autres habitants de la Robertsau, seraient-ils en meilleure santé, auraient-ils la même espérance de vie ?

Ce n’est pas aussi simple. Beaucoup de gens ne trouvent pas la porte d’entrée. Aujourd’hui, pour avoir accès à un médecin spécialisé par exemple, il faut passer par Doctolib. Il faut avoir un smartphone, un abonnement, et savoir naviguer sur internet. C’est le problème de la fracture numérique: certaines personnes renoncent à se soigner parce qu'elles ne maîtrisent pas ces outils.

Il y a aussi le problème de la motivation. Certaines personnes se disent: “C’est trop compliqué, je laisse tomber, j’ai d’autres choses à faire”. C’est vrai pour la santé en général, pas seulement pour les soins. Certains cessent d’espérer pouvoir vivre en bonne santé. Ils n’imaginent pas la vie sans alcool ou sans tabac; ou ne considèrent pas la possibilité de pouvoir se maintenir en forme par le sport, par exemple.

 

Si les habitants de la Cité de l’Ill jouissaient d’un accès aux soins égal à celui des autres habitants de la Robertsau, seraient-ils en meilleure santé, auraient-ils la même espérance de vie ?

Ce n’est pas aussi simple. Beaucoup de gens ne trouvent pas la porte d’entrée. Aujourd’hui, pour avoir accès à un médecin spécialisé par exemple, il faut passer par Doctolib. Il faut avoir un smartphone, un abonnement, et savoir naviguer sur internet. C’est le problème de la fracture numérique: certaines personnes renoncent à se soigner parce qu'elles ne maîtrisent pas ces outils.

Pins, mésanges et chevreuils

La destruction des pins sylvestres, peupliers et marronniers aura un impact indéniable pour les riverains. Mais les espèces qui nichent actuellement dans cet espace ne devraient pas trop pâtir de sa disparition. “Il n’y a pas de cigogne blanche là-bas. Les mésanges, rouges-gorges et pics s’en sortiront très bien si des nichoirs sont installés dans les futurs jardins”, avance Bernard Irrmann, membre de la Ligue de protection des oiseaux (LPO). “On les entend beaucoup ici, à tel point que parfois on ne s’entend plus parler, et c’est super! Ce serait une vraie perte de ne plus les avoir”, se lamente pour sa part Christiane Cornec Rubio, dont le balcon fait directement face au bois. 

Écureuils, chevreuils, blaireaux et sangliers seront eux aussi contraints à l’exil. “On est à côté d’une grande réserve de l’Eurométropole, qui s’étend sur des milliers d’hectares, donc le petit bois qui va être détruit c’est peanuts!”, confie Mathieu Bafaro, responsable pédagogique au Centre d’initiation de la nature et de l'environnement (Cine) de Bussierre. “Certes, cela sera une destruction de leur milieu naturel mais les animaux se rapatrieront vers la réserve naturelle.”

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Marie-Madeleine devant le fortin du quai Jacoutot. ©louise forbin

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