Longtemps à la traîne sur le plan économique, le quartier Gare monte en gamme. Immobilier, hôtellerie-restauration et commerce insufflent de nouvelles dynamiques dont tout le monde ne profite pas.
Longtemps à la traîne sur le plan économique, le quartier Gare monte en gamme. Immobilier, hôtellerie-restauration et commerce insufflent de nouvelles dynamiques dont tout le monde ne profite pas.
Mal vu, le quartier dévoile un visage solidaire, où bénévoles et habitants se mobilisent pour les sans-abris. Ce lieu de passage fait sa mue en éloignant la voiture. Mais il souffre d'un manque d'équipements de loisirs.
Mal vu, le quartier dévoile un visage solidaire, où bénévoles et habitants se mobilisent pour les sans-abris. Ce lieu de passage fait sa mue en éloignant la voiture. Mais il souffre d'un manque d'équipements de loisirs.
Tous ne vont pas jusqu’au bout, soutient Judith : “Quelqu’un qui n’est pas motivé par ce qu’il fait, on ne va pas le virer, il partira de lui-même.” Déjà, au niveau CAP, Matéo en a fait l’expérience : “Au début on était une vingtaine, à la fin, moins de dix.” Si le succès est promis à ceux qui terminent le cursus, Lucas modère : “C’est facile d’entrer aux Compagnons du Devoir mais c’est compliqué d’y rester”.
Audrey Burla et Yohan Glemarec
*le prénom a été modifié