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Par Léonie Cornet et Emma Steven

Dans les rues de certains villages à l’est de la Roumanie, à la frontière Moldave, on croise des enfants, des personnes âgées, des femmes…. mais très peu de pères de famille.
En quête d’un emploi ou d’un meilleur salaire, 15% de la population roumaine ont migré vers d’autres pays de l’Union européenne entre 2007 et 2019. Beaucoup ont fait le choix de confier leurs enfants à d’autres membres de la famille.

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En soutien à l’aide humanitaire roumaine, l’ONG israélienne “Join” distribue des repas chauds.
© Julie Brault

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A quelques mètres du poste-frontière, les bénévoles guettent l’arrivée des réfugiés.
© Julie Brault

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Par Julie Brault

Au poste-frontière de Siret, ville située au nord-est de la Roumanie et voisine de l’Ukraine, les bénévoles roumains se relaient jour et nuit pour accueillir les réfugiés jetés sur les routes par la guerre. Sans aide du gouvernement, leurs ressources financières s’amenuisent rapidement. Avec un risque : l’essoufflement de l’aide humanitaire locale.

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Dès leur arrivée, les psychologues plongent les plus jeunes dans leur routine d’enfant. Des tentes sont aménagées spécialement pour eux avec des jeux et des couleurs.
© Maryline Ottmann

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Pour rassurer les enfants, les gardes-frontières déposent des peluches sur le pont qui sépare l’Ukraine de la Roumanie
© Maryline Ottmann

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Par Maryline Ottmann

Quand un réfugié quitte son pays, il laisse toute sa vie derrière lui, impuissant. Il est comme déraciné d’une routine, d’une vie stable du jour au lendemain.
On évoque souvent l’aide matérielle aux réfugiés, mais peu l’aide psychologique.

Du passage à la frontière à la reprise d'une “nouvelle vie”, que se passe-t-il dans l’esprit d’un réfugié ? Comment les psychologues roumains accompagnent ces personnes ? Ces bénévoles ne comptent pas leurs heures.

La Roumanie est en première ligne pour l’accueil des réfugiés. Pourtant, prendre soin de sa santé mentale est encore un tabou pour de nombreux Roumains.

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