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Par Juliette Fumey et Nathan Bocard

En France, le nombre de vétérinaires qui s’occupent des animaux d’élevage est en constante baisse depuis 2013. La Haute-Loire, département rural par excellence, n’est pas épargnée.
Horaires contraignants, métier physique, bouleversements sociologiques dans la population étudiante : les causes sont nombreuses, et les vétérinaires s’organisent pour lutter contre ce phénomène. Car moins de vétos signifie des trajets plus longs et des visites plus coûteuses pour les éleveurs. Mais la passion reste la même.

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