Vous êtes ici

Le module est validé, il peut être inséré dans un article pour être consulté par les internautes.

[ Plein écran ]

Fatima anime un atelier pour les petits enfants. Aujourd’hui ils ont récolté des feuilles mortes et les ont collées sur un papier pour faire un arbre d'automne. © Esther Sarazin

[ Plein écran ]

Mercredi, 17h30 : les parents viennent chercher leurs enfants devant le centre Salam. © Esther Sarazin

[ Plein écran ]

Oana espère se reconvertir dans l'art. © Stéphanie Ghacibeh

[ Plein écran ]

"Les quais ne sont pas larges, les voyageurs ne se sentent pas en sécurité", selon Loÿ Durrenberger à l'Astus. © William Jean

[ Plein écran ]

Maimaite, réfugiée Ouïghour. © Stéphanie Ghacibeh

[ Plein écran ]
[ Plein écran ]

Comme chaque vendredi, Qoussai assiste au cours de français. © Stéphanie Ghacibeh

[ Plein écran ]

© William Jean et Eva Lelièvre

[ Plein écran ]

Nawal apprend aux enfants le nom des couleurs en arabe ainsi que les lettres de l’alphabet. © Esther Sarazin

Aujourd’hui, les cours qu’a suivis Oana lui permettent d’aider son enfant dans ses débuts au collège. Elle a aussi fréquenté un temps l’Université populaire de Strasbourg : "c’était un cours intensif et un peu cher", se souvient-elle. Clubs, formation en ligne, devoirs avec son fils, elle pratique au maximum : "Je vais à beaucoup d’ateliers pour parler avec les gens." Pour le moment sans emploi, Oana aimerait exercer un métier dans le milieu de l’art. Actuellement, "beaucoup d’entreprises demandent au minimum le B1", indique-t-elle. Oana espère atteindre ce niveau en 2025.

Pages