12 h 50 : « Robert Badinter, c'est un autre mot pour écrire le nom liberté », dit Jack Lang sur BFMTV.
12 h 42 : ''Une grande conscience et une grande voix de la gauche est décédée. Robert Badinter restera la droiture, l'humanisme et la sagesse dans ce monde. Un grand homme qui mérite d'être au Panthéon'', estime l’ancien ministre socialiste Stéphane Le Foll
12 h 41 : L’ancien président de la République François Hollande rend hommage à Badinter celui qui « restera dans l’Histoire pour avoir convaincu le Parlement d’abolir la peine de mort ». « C’était le combat de sa vie », a-t-il assuré sur RTL.
12 h 38 : En vidéo : Quand Robert Badinter défendait l’abolition de la peine de mort devant le Parlement
Robert Badinter, l’ancien ministre de la Justice de François Mitterrand a marqué la vie politique de la fin du siècle dernier. Son engagement à gauche atteint son apogée lors de son discours pour l’abolition de la peine de mort, expression du combat de toute sa vie.
12 h 26 : « Un juste entre les justes » salue Laurent Fabius, le président du Conseil Constitutionnel.
12 h 29 : Pour Anne Hidalgo, Robert Badinter était un « enfant de la République, avocat des grandes causes et fin observateur de notre société », qui « n’aura cessé, jusqu’à la fin de sa vie, de condamner l’injustice, de lutter sans relâche pour les droits en condamnant toutes les formes de discrimination et notamment l’antisémitisme », salue la maire de Paris.
12 h 24 : « Robert Badinter était plus que l’abolitionniste qui mit fin à la peine de mort. Il incarnait l’idée même de justice », salue sur X le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, après la mort de Robert Badinter.
12 h 27 : « Profondément épris de justice, artisan de l’abolition, homme de droit et de passion, il laisse un vide à la hauteur de son héritage : incommensurable », déclare le ministre de la justice Eric Dupont-Moretti sur X.
12 h 22 : « Par les combats de sa vie, Robert Badinter aura montré que la politique trouve sa noblesse, non dans l’opportunisme qui suit les vents dominants de l’opinion – mais dans l’exigence de justice qui, souvent à contre-courant, s’efforce de convaincre un peuple », réagit François-Xavier Bellamy, ancienne tête de liste des Républicains aux élections européennes.