La guerre à Gaza a mis un gros coup au moral des Jordaniens. Le psychologue Moh’d Shoqeirat, membre de l’association des psychologues de Jordanie, raconte les conséquences du conflit sur la santé mentale de la population.
Un gain de temps et d’argent. « Les femmes des quartiers pauvres sont celles qui font le plus face aux fuites. Les réparations prennent du retard parce qu’il leur faut du temps pour rassembler de l’argent et ainsi appeler un plombier. » Depuis 2014, l’association a formé plus de 2 000 personnes. Tahani Chatti espère avoir permis à ces femmes de gagner en confiance, comme cela a été le cas pour elle : « Je ne sais pas si les autres sont fiers de moi, mais moi, je le suis. »
Adélie Aubaret
Pauline Beignon