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Au déclenchement de l’invasion russe en Ukraine le 24 février 2022, un élan de solidarité général s’est emparé des pays occidentaux. En France, les collectivités locales n’y ont pas échappé. Plus de deux ans après son accord conclu avec l’oblast (région) de Kharkiv, le Grand Est accueille une délégation ukrainienne au Congrès des régions, organisé cette année à Strasbourg. À cette occasion, un accord a été signé entre Régions de France et l’association ukrainienne des Conseils de District et de Régions (Uaror) pour formaliser la solidarité qui unit les deux entités. " Le but, c’est que chaque région française soit en partenariat avec une région ukrainienne, explique à Webex Christian Debève, le vice-président LR aux relations internationales du Grand Est. Pour l’instant, c’est le cas de cinq d’entre elles."
Lors de leur Congrès à Strasbourg, les Régions de France ont signé une convention de soutien à leurs homologues ukrainiens. Malgré leur échelle réduite, les collectivités locales font valoir leurs leviers pour participer à l’aide internationale.
Il devient clair que l’autre enjeu de la représentation, en plus de la simple existence dans l’univers du JV, est la manière d’être représentée, l’image donnée au personnage. Lara Croft incarne la femme pensée par l’homme pour plaire à l’homme, bien plus que dans l'espoir d'attirer un public féminin. Nombre de personnages féminins sont imaginés avec des armures, qui s’apparentent davantage à des pièces de lingerie métalliques qu’à de vraies protections, ou portant des combinaisons moulantes et révélatrices. Ces designs laissent croire que les développeurs mettent un point d’honneur à mettre en avant le corps des femmes plutôt que leur personnalité. Et empêchent les joueuses de s’identifier au personnage. Jusqu’à 35 % des joueuses affirment que les corps des femmes dans les jeux vidéo leur donnent moins confiance en elles.
Tristan Vanuxem
Édité par Lucie Campoy
“Couffignal en colère”, “Couffignal en détresse”... Sur les banderoles et pancartes accrochées à la grille du lycée Couffignal à Strasbourg, on peut lire de nombreux cris d’alarmes. A l’initiative des parents d’élèves, les professeurs ont organisé une “journée morte” ce 26 septembre pour protester contre la vétusté et le manque de moyens. Ce jeudi, une grande partie des cours ne sont donc pas assurés.
Pas de toilettes pour les filles