Vous êtes ici

Le module est validé, il peut être inséré dans un article pour être consulté par les internautes.

Moins qu’une gare, une halte. L’arrêt Strasbourg-Roethig est un tronçon de voie ferrée, à peine aménagé. Ses quais étroits sont disposés de part et d’autre du passage à niveau, faute de place pour les mettre face à face. Deux abris anti-pluie, un panneau d’affichage défectueux, une borne à tickets, un parking à vélos, "et même pas de banc pour s’asseoir", ajoute Patricia, pilier de gare depuis 2017.

Niché dans une petite maison sur les berges de l’Ill, le centre Salam propose à quelques 500 enfants et 90 adultes des cours de langue et de religion. Cet endroit, affilié à la mosquée Salam, répond à des besoins de transmission de la communauté musulmane et rythme également la vie de tout le quartier.

Oana : "Le théâtre, le musée, c'est en français"

Maimaite : "Le CSC est devenu ma famille"

[ Plein écran ]

Fatima anime un atelier pour les petits enfants. Aujourd’hui ils ont récolté des feuilles mortes et les ont collées sur un papier pour faire un arbre d'automne. © Esther Sarazin

[ Plein écran ]

Mercredi, 17h30 : les parents viennent chercher leurs enfants devant le centre Salam. © Esther Sarazin

[ Plein écran ]

Oana espère se reconvertir dans l'art. © Stéphanie Ghacibeh

[ Plein écran ]

"Les quais ne sont pas larges, les voyageurs ne se sentent pas en sécurité", selon Loÿ Durrenberger à l'Astus. © William Jean

[ Plein écran ]

Maimaite, réfugiée Ouïghour. © Stéphanie Ghacibeh

[ Plein écran ]

Pages