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Alain Juppé: "Bachar El Assad tombera"Page suivante
« Crise du logement » : l'expression revient sans cesse dans la bouche des politiques, associations et autres spécialistes de la question. Dans le Bas-Rhin, le nombre de toits est satisfaisant. La précarité grandissante complique cependant l’accès au logement et devenir propriétaire s’avère de plus en plus difficile. Découvrez le dossier multimédia réalisé par les étudiants du CUEJ.
La crise l’impose à l’Eurozone : l’Union se fait, irréversiblement. La BCE se saisit des banques, l’intérêt commun s’introduit dans les choix économiques nationaux. La politique peine à suivre. Le dossier multimédia réalisé par les étudiants du CUEJ.
Quelles traces peuvent laisser, 10 ans après l'horreur, le traumatisme de trois meurtres, dont deux enfants, accompagnés de mutilations sauvages ? Quelles sont les conséquences du naufrage judiciaire qui a conduit à accuser sans preuves, puis à innocenter dans le doute, les membres d'une famille de marginaux yéniches ? C'est pour répondre à ces questions que les étudiants du CUEJ ont, après avoir reconstitué l'affaire, retrouvé et interviewé les différents protagonistes. Une enquête qui a réveillé des souffrances, mais aussi libéré la parole.
La région a très tôt plébiscité le parti nationaliste. Un vote qui atteint son apogée en 2002, quand Jean-Marie Le Pen recueille 23,44 % des voix.
Dès les élections européennes de 1984, date à laquelle le FN sort de la marginalité, l'Alsace lui attribue des scores supérieurs à la moyenne nationale à chaque élection. C'est particulièrement le cas lors des présidentielles, où le vote frontiste alsacien se situe 7 à 10 points au-dessus du score national dès 1988, alors que Jean-Marie Le Pen ne perce en France qu'à partir de 1995. En 1984, le Front national obtient 12,5% en Alsace. Ce sont surtout les territoires urbains d'électorat de gauche et ouvriers qui lui attribuent leurs suffrages, ainsi que les quartiers ouvriers de Strasbourg et Mulhouse. L'Alsace se partage alors entre les zones urbaines et industrielles, tentées par le FN, et le monde rural et peu industrialisé, fidèle au centre droit.
Les succès des années 90
Les législatives de 1986 confirment la percée du FN en Alsace (13,6%). Le vote frontiste s'étend de la ville vers la campagne pour devenir un vote rural dès 1988, s'installant durablement dans les trois cantons d'Alsace Bossue. Lors de la présidentielle de 1995, Bas-Rhin et Haut-Rhin offrent au candidat d'extrême droite ses meilleurs scores départementaux (autour des 25% des suffrages exprimés), contre 15 % au niveau national. En 1997, les élections législatives marquent un véritable ancrage du FN dans le paysage politique alsacien. Sur les seize circonscriptions, onze candidats frontistes se maintiennent au second tour. Quatre ans plus tôt, ils n'étaient que quatre. A l'issue de ces deux élections, aucun d'entre eux n'entre au palais Bourbon.
Cinq élus au conseil régional
Le vote FN culmine en Alsace lors de la présidentielle de 2002. La région place Jean-Marie Le Pen en tête au premier tour avec 23,44% des suffrages. L'extrême droite récolte aussi les 4,34% de Bruno Mégret qui avait quitté le parti en 1998 pour fonder le MNR. Au second tour, le leader frontiste ne parvient pas à fédérer : le compteur affiche 7 000 électeurs de moins que deux semaines auparavant. Cinq ans plus tard, il n'obtient que 13,56%, perdant près de 60 000 voix. Des suffrages largement reconquis par sa fille en 2012. 2010 marque un nouveau succès pour le FN. La liste menée par Patrick Binder se qualifie pour le second tour des élections régionales avec 13,49%. Près de 90 000 électeurs (14,57% des suffrages exprimés) envoient cinq élus FN au conseil régional.