Le module est validé, il peut être inséré dans un article pour être consulté par les internautes.
La présidente de la Commission a délivré un discours volontariste sur le thème de la crise de l'énergie à l'occasion du discours de l'Union. Parmi les enjeux centraux qui attendent l'Europe, la réinvention de son marché commun et le plafonnement des profits.
14 h 00. Selon le Réseau de transport d'électricité (RTE), le blackout peut être évité cet hiver
Sur France Inter en début d'après-midi, Xavier Piechaczyk, président du directoir de RTE, a distillé quelques conseils aux Français pour économiser l'électricité.
13 h 45. Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, attend du gouvernement qu’il maintienne un bouclier tarifaire efficace pour les entreprises
« Je souhaiterais que le gouvernement prenne des mesures fortes pour protéger le travail et le pouvoir d'achat des Français. Je dis le travail parce que les hausses des factures de gaz et d'électricité que subissent de plein fouet nos entreprises conduisent certaines d'entre elles à fermer », a-t-il estimé sur France Info. Le responsable communiste a également demandé le gel des tarifs de l'électricité pour les particuliers et insisté pour que les collectivités bénéficient d'un tarif « réglementé, stable, garanti ».
13 h 35. Bruno Lemaire affirme que sans bouclier tarifaire, les prix de l'électricité et du gaz exploseront en 2023
Le ministre de l'Economie, a donné le ton lundi, au micro de LCI. « Il faut que nos compatriotes absorbent une petite part de cette hausse ».
13 h 30. Gérard Larcher estime que « le gouvernement n'a pas d'autre choix » que de limiter le bouclier tarifaire
En raison de « la situation budgétaire qui est la nôtre », le président du Sénat a rappelé sur le plateau de LCI que certaines entreprises avaient dû fermer « pour des motifs de coût énergétique ».
Le Vélodrome nouvelle génération – rénové pour l’Euro 2016 – accueillait sa première soirée à guichets fermés dans sa compétition préférée, mardi 13 septembre. Pour son deuxième match de Ligue des champions, l’Olympique de Marseille accueillait le tenant en titre de la Ligue Europa, l’Eintracht Francfort. Une équipe qui n’a rien de sa splendeur de l’an dernier, depuis le début de saison. Englués dans le milieu de tableau de Bundesliga, les Allemands semblaient même arriver sans grandes ambitions, comme intimidés par une équipe de Marseille composée de joueurs habitués des grands rendez-vous : le Chilien Alexis Sanchez (ex-Barcelonais), l’Ivoirien Eric Bailly (ex-Mancunien), et même Dimitri Payet, pour une fois titularisé par son coach croate Igor Tudor. Regroupés dans leur camp, avec un bloc défensif compact, les joueurs d’outre-Rhin attendaient avec vigilance les assauts marseillais, conscients des qualités d’une équipe irréprochable en Ligue 1 depuis août, et prometteuse contre Tottenham la semaine dernière. Les espoirs étaient donc légitimes dans la cité phocéenne.
Un volcan éteint
Mais très vite, malgré ces conditions idéales, quelque chose semblait clocher. Le public était étonnament silencieux, le volcan que tout le monde attendait semblait éteint dès la première période. Pourquoi ? Peut-être stupéfait par son équipe, incapable de produire quoique ce soit avec le ballon. Les olympiens ont semblé embarrassés par la possession, pris au piège par des Allemands patients, disciplinés, et cliniques en contre-attaque. Finalement, le but concédé avant la mi-temps semblait logique, mérité, comme une punition qui devait obliger Marseille à se réveiller après la pause pour réaliser à quel niveau elle devait s’élever. Cela n’a pas suffi. Visiblement fatigués, les joueurs d’Igor Tudor n’ont, à aucun moment, semblé inquiéter Francfort. Insuffisant pour espérer quoique ce soit dans cette compétition. L’OM n’a pour l’instant plus le niveau, la classe, mais surtout le tempérament pour raviver des souvenirs d’une époque où il était devenu, « à jamais le premier » club français à inscrire son nom au palmarès de la Ligue des champions, en 1993.
16 défaites en 17 rencontres
Après cette 16ème défaite en 17 matchs de C1, l’Olympique de Marseille a prouvé qu’on ne pouvait vraiment plus compter sur lui pour trépigner d’impatience tout un mardi avant un soir de foot. Ce match était à sa portée, son stade au complet, mais il a tout gâché. Il reste encore quatre matchs pour se relever, mais désormais, on refusera de s’emballer avant les rencontres, au risque d’être déçu. Plus que le classement UEFA, auquel l’OM ne contribue pratiquement plus dès lors qu’il se retrouve en Ligue des champions en ne gagnant pas, c’est cette excitation d’avant match, à son comble mardi 13 septembre, qu’il a complètement éteint.
Luc HERINCX
Édité par Milan BUSIGNIES