L’envie de lire

Fabien Romary et sa fille ressortent du bus les premiers. Après avoir réglé des tâches administratives, la famille regagne sa maison cossue rue Gratien. Dans sa chambre - entre sa cuisine en bois pour enfant et ses jouets - Elise a deux petites bibliothèques bien remplies. Certains livres jonchent même le sol. Pour elle, la lecture est une habitude : “J’ai appris à lire l’année dernière mais avant je lisais quand même beaucoup de livres avec les images.” Après s’être chamaillé avec son frère, la chambre de la fillette est plongée dans le silence. Elle lit la moitié d’un livre avant de manger puis le termine avant de se coucher. Dans sa chambre, Bruno parcourt ses ouvrages, allongé sur son lit. 

Passionné de pêche, Adrien Mazerak profite, ce dimanche 11 novembre, des derniers jours d'ouverture des étangs de Kœnigshoffen. Au programme de la journée : pêche à la carpe pour le plaisir. Et pour le sport. 

[ Plein écran ]

© Benjamin Martinez 

[ Plein écran ]

© Pierre Boudias

En dix ans, le kebab a su trouver sa clientèle sur la route des Romains où son commerce domine. Pour résister au contexte de concurrence qui s’est imposé et continuer à faire vivre leurs enseignes, les restaurateurs innovent. 

Les parcs des Forges et Gruber concentrent les emplois. En l'absence de centre, le commerce de proximité peine à trouver sa place. Avec l'arrivée du tramway et l'implantation d'une maison des services, le faubourg espère gagner en attractivité. 

Bricolage, promenade, jardinage... Les loisirs se pratiquent souvent sur un mode collectif. Des initiatives associatives tissent du lien social et compensent en partie le manque d’infrastructures.

A Koenigshoffen, on vit de mille manières. Foyers sociaux, pavillons individuels, logements prioritaires, projets participatifs... L’ancien faubourg de près de 17 000 âmes tente de réinventer ses formes d’habitat.

[ Plein écran ]

©Aya Alkhiyari

Pages