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Au stade, plus de spectateurs et moins de parkings
La rénovation du stade de la Meinau a franchi une nouvelle étape, avec la conclusion de la consultation publique, présentée au conseil municipal. Désormais planifié à l’horizon 2025, ce chantier à 100 millions d’euros (10 millions financés par la Ville) est soutenu à l’unanimité par les élus, mais pose quelques questions.
Le Républicain Jean-Philippe Maurer s’est notamment interrogé sur l’usage de la future fan-zone, un espace en plein air dédié aux supporters. Il a émis le souhait que celle-ci ne soit destinée qu’au football, et pas à d'autres manifestations, invoquant le « droit des habitants à une vie paisible ». L’élu a également remarqué la suppression programmée de nombreux stationnements, « dont certains également utilisés par les riverains », alors que le stade verra sa capacité d’accueil augmenter de 6 500 places. Un paradoxe auquel Robert Herrmann, président de l'Eurométropole, et Mathieu Cahn ont successivement répondu par le développement du tram, des vélos et du covoiturage. L'adjoint de quartier a également pointé le fonctionnement de la gare Krimmeri-Meinau, depuis laquelle « vous pouvez venir au stade, mais dont vous ne pouvez pas repartir passé 19 h 30 », et qui devrait faire l'objet de discussions entre la Ville et la SNCF.
Un nouveau label éducatif
Dès la fin de l’année 2019, la Meinau, comme ses voisins Neuhof et Elsau, bénéficiera du nouveau label « Cités éducatives ». Un dispositif gouvernemental auquel Strasbourg a candidaté cet été, pour ces trois quartiers. 34 millions d’euros seront alloués par l’Etat « pour intensifier la prise en charge éducative des enfants, de leur naissance à leurs 25 ans, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire », a détaillé Mathieu Cahn, adjoint au maire en charge du quartier de la Meinau. Une somme à répartir entre les 80 sites retenus sur l’ensemble de la France : la Meinau, Neuhof et l’Elsau ne comptent que pour un. L’objectif est de « créer une grande alliance des acteurs éducatifs », selon l'adjoint au maire socialiste.
« C’est un label, il y en a eu d’autres, il y a en aura d’autres. (…) Je pense que c’est un peu du flan », a critiqué Andrea Didelot, conseiller municipal non inscrit, ex-Les Patriotes. « Les Cités éducatives, c’est réunir les écoles, les associations, les intervenants sociaux. Un véritable travail de terrain et de fond, et certainement pas de la poudre aux yeux », lui a répondu le socialiste Patrick Roger.
Conseil municipal fleuve, lundi 23 septembre, pour la rentrée des élus strasbourgeois. Huit heures de débats au cours desquelles deux points concernant la Meinau ont été abordés : la labellisation « Cités éducatives » du quartier, ainsi qu’un bilan de la concertation publique sur la rénovation du stade et de ses abords.
Schiltigheim accueille vendredi 27 septembre la soirée de lancement des Journées de l'architecture, axées cette année autour de la thématique des « Transitions ». Cet événement débute par la venue à Schiltigheim d’Anupama Kundoo. Née à Pune en 1967, l'architecte indienne « évoque l’acte de construire comme un processus sensuel ». Distinguée par le prix Arc Vision – Femme architecte de l’année en 2013, Anupama Kundoo est notamment attachée à la réduction de l’empreinte écologique et recherche des solutions pour répondre aux grands enjeux contemporains.
Lors de ce festival organisé par la Maison européenne de l’architecture, les curieux pourront découvrir la malterie et le palais Fischer le samedi 12 octobre. La visite, gratuite, est prévue avec un architecte et l’inscription est nécessaire. Les plus jeunes sont, pour leur part, attendus du lundi 28 au jeudi 31 octobre dans le cadre d’un atelier pour « penser la ville », à la maison du jeune citoyen. Schiltigheim fait partie intégrante de la programmation qui regroupe 200 événements en tout. Débats, expositions et visites sont proposés dans 28 villes, situées dans trois pays différents, du 27 septembre au 31 octobre.
Vendredi 27 septembre à 18h30. Conférence inaugurale des Journées de l’architecture. A la Briqueterie, Avenue de la 2e Division Blindée. Entrée gratuite sur inscription.
Pour aider les élèves de la primaire au lycée dans leur travail scolaire, le centre socioculturel Camille Claus de Koenigshoffen recrute des CDD. La mission d'accompagnement s'effectuera d'octobre 2019 à juin 2020, et demandera 2 h à 2 h 30 d'investissement par semaine. Les soutiens aux devoirs devront "proposer des activités ludiques pour donner l'envie d'apprendre" et "encourager l'autonomie" des jeunes.
La candidature requiert un Bac+2 et de l'expérience dans l'animation. La lettre de motivation, le CV ainsi que le tableau complétés sont à envoyer à Chantal LOTH-CARIOU, 41 rue Virgile 67200 STRASBOURG, 03 88 27 61 51, clothcariou@jsk-asso.fr.
Le Centre Socio Culturel Camille Caus #recrute des accompagnateurs à la scolarité
Envoyer un CV et une lettre de motivation avec le tableau ci-après rempli à Chantal LOTH-CARIOU, 41 rue Virgile 67200 STRASBOURG, 03 88 27 61 51, clothcariou@jsk-asso.fr #emploi #jskoennigshoffen pic.twitter.com/zRnik6mr8x— Association JS Koenigshoffen - CSC Camille Claus (@assoJSK) 20 septembre 2019
Thémïs Laporte.
La Maison du compost, située rue de la Tour à Koenigshoffen, recrute pour la rentrée. Elle recherche un(e) chargé(e) de mission et une personne en service civique.
Le chargé de mission développera, avec trois autres personnes déjà en poste, les actions entreprises par l'association auprès des structures du Grand Est. Elle devra gérer la communication, les finances et l'administration de la Maison du compost. Un diplôme Bac + 3 est requis.
La personne en service civique participera à l'entretien et à l'aménagement du terrain de compostage de l'association sur le site des jardins partagés de Saint-Gall. Elle sensibilisera également le public à l'intérêt écologique du compost à travers différentes actions. Le poste est à pourvoir pour quatre mois sous la responsabilité d'un tuteur.
Contact : Jean-Yves Brockers au 06.61.04.62.43 ou Pascale David au 06.10.84.74 ou Elsa Distel 07.67.84.26.50. Par mail, lamaisonducompost@gmail.com
À 90 ans, Germaine est la doyenne du mouvement d'opposition au GCO.
Germaine est la doyenne de la lutte anti GCO.